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II.2. L’APITHÉRAPEUTE

 

Il ne faut pas confondre l’apithérapie avec la consommation régulière, biensûr bénéfique, des produits apicoles. La recommandation de l’administration des apithérapiques ne doit être effectuée que par des spécialistes et seulement en foction de sexe, âge, maladie, poids corporel,  cible thérapeutique suivie, stade de la maladie, les valeurs des analyses de laboratoire, d'autres examens médicaux, autres maladies concomitantes ou des antécédents familiaux, etc.

L’apithérapeute doit connaître aussi les éventuelles contre-indications ou les conséquences sécondaires qui ont certaines apithérapiques. Apparemment inoffensifs, certains produits de la ruche, des compléments alimentaires et même certaines apithérapiques standardisés qui sont mal adminsitrés peuvent avoir des effets secondaires importants, allant des allergies et jusqu’au déclenchement de l'apparition de certaines maladies auto-immunes. Affirmer l'absence de contre-indications ou de consequences secondaires des apithérapiques n'est plus qu'une légende.

Il est connu que les médicaments sont en fait des substances. Si un produit contient une seule substance ou un ensemble de deux ou plusieurs substances, cela dépend de la valence thérapeutique, pharmacocinétique, avec laquelle il est investi par son fabricant. Les doses dans lesquelles un certain médicament, aussique sa combinaison avec d'autres médicaments pour maintenir ou modérer les actions dans le corps humain, en fonction de la cible thérapeutique suivie, dépendent de la connaissance, de l'expérience du médecin, mais aussi les connaissances cliniques et paraclinique du patient, y compris holistique et les antécédents familiaux. Il y a des médecins doués qui font de leur métier un art. Ils sont ceux qui traitent le patient considéré comme un tout - corps, esprit et âme - mais en tant que partie d'un autre ensemble: cadre de vie (sociale, familiale, économique, professionnelle, son habitat, l'alimentation, l'environnement naturel ou urbain, etc. ). Ces personnes connaissent bien non seulement la médecine, mais aussi les patients. Toujours le clinicien lorsqu'il forme un protocole thérapeutique doit savoir non seulement les indication, mais aussi des contre-indications, les effets secondaires indésirables des médicaments prescrits.

Les apithérapiques, la plupart d'entre eux, en particulier ceux non-standardisés, sont des complexes de substances ayant des effets thérapeutiques et leur prescription impose, en plus des connaissances médicales, la connaissance de leur action synergique, ainsi que ceux antagoniques. On parle, au niveau de la connaissance commune, sur les contre-indications ou les effets secondaires, plus ou moins agressives de la drogue. Ils sont bien connus par les spécialistes - médecins et pharmaciens. Les maladies iatrogènes (causés par la prise de certains médicaments), sont un “quoi” relativement commun. Leur on a consacré, y compris dans la Roumanie, d'autres études d’une 'étendeur considérable. Il y avait - et sont encore - des études sur la sécurité et l'efficacité de l’administration des différents médicaments. Certains médicaments, dont l'agressivité impose ça sont retirés et interdites. Les médicaments, cependant, sont est restent encore nécessaires. Il y a, par exemple, des cas dans lesquels leur utilisation immédiate et très professionnelle, sauve des vies. Rien ne peut remplacer la paix qui descend dans l’âme du patient, qui, conscient que sa vie ne tient qu'à un cheveu et de la rapidité et le professionnalisme des interventions médicales, voit la robe blanche près de son lit. Personne, pas un expert, ne s'opposent pas aux medicaments de synthèse chimique dans la faveur des apithérapiques. Idéalement, elles doivent être utilisés conjointement dans les cas où elles peuvent augmenter et soutenir leur effets ou, le cas échéant, être utilizes celles recommandés par les études d'efficacité et de sécurité  Dans les recherches cliniques que j'ai commencé à systématiser, nous visons à attirer l'attention aussi sur la complémentarité des medicaments de synthèse chimique et certains apithérapiques, mais la plupart du temps, nous décrirons et argumenterons les cas où l’apithérapie est suffisante et supérieure dans un nombre important de maladies. L’apithérapeute sans qualification supérieure, qui doit inclure des solides connaissances médicales, de biochimie médicale et, bien sûr, de la biologie moléculaire et cellulaire, risque, lui-même, suivant d’une manière inapproprié une cible thérapeutique, de déclencher la survenue d’une maladie iatrogène.

En relation avec ces idées, l’apithérapeute est – et il doit être – l’intermédiaire habilité entre  l'apithérapie et le patient. Dans le même temps, il est l'intermédiaire entre les médicaments allopathiques précédente avec ses effets et le protocol apithérapeutique qu’il établi pour le patient. Mais d'abord, il est nécessaire de faire une déclaration. Il y a des cas où, en milieu hospitalier ou en ambulatoire, traitant une certaine maladie primaire, par des médicaments prescrits de façon inappropriée, il peut causer une maladie secondaire, provoquée par voie iatrogène (par les médicaments prescrits). Ne sont pas rares les cas où le médecin, suivant une cible thérapeutique, en  particulier dans les cas des certaines maladies au pronostic sévère, peut-être à action rapide, sait qui seront les maladies secondaires, iatrogènes, mais il risques pour le patient par l’administration d’un médicament particulier. Cependant, ce medicament est considéré comme le seul moyen d'intervenir et n'a donc pas impliquer une faute. Quelle que soit la cause de l’apparition de la maladie iatrogène, elles sont enracinées dans des substances qui se trouvent dans la structure des médicaments sur ordonnance. Des telles substances, susceptibles d'avoir des conséquences iatrogènes, peuvent être trouvées dans la structure des apithérapiques, aussi. Par conséquent, l’apithérapeute, afin d'établir correctement un protocole thérapeutique, devra étendre l'étude sur des dossiers médicaux de chaque cas clinique, commençant avec les enquêtes faites pour  diagnostiquer la maladie primaire. Il est évident que, ce faisant, il doit suivre et l’achèvement des medicaments, avec les possibles maladies iatrogènes secondaires, afin d'éviter que, par apithérapie, ne pas augmenter les conséquences secondaires et certainement ne pas entraîner d'en autres.

La connaissance des substances contenues dans les médicaments précédemment administrés doit être doublé dans le cas de l’apithérapeute, en sachant les actions des substances continues dans les apithérapiques. L’apithérapeute, en plus de l'histoire complete, devrait donc savoir interpréter correctement les valeurs biochimiques enregistrées en laboratoire, puisse suivre leurs progrès tout au long de médicaments que le patient a préalablement suivi. Il faut aussi savoir  interpréter dans le contexte clinique, n’importe quells autres documents médicaux présentés par le patient - radiologie, échographie, imagerie, etc Si cela sert à l’acte apithérapeutique, l’apithérapeute doit avoir les connaissances nécessaires pour recommander aux patients n’importe quelles autres investigations médicales.

Si les riqsues de l'auto-médication ont été assez fréquemment discutés dans la littérature médicale, les risques de l’auto-apithérapie sont aussi réels. Lorsque nous analysons la casuistique des maladies que nous avons l'intention de mettre en évidence comme des réussites de l'apithérapie, nous y reviendrons plus en détails et avec d'exemples concrets sur ces questions.

De toute évidence, les similitudes entre l’acte thérapeutique farmacochimique (allopathique) et lequel réalisé en employant les apithérapiques n’exclurent pas l'existence de quelques différences. Certaines de ces similitudes sont significatives. Les conséquences iatrogènes de l’utilisation des apithérapiques sont plus moins, moins sévères, mais il y a des risques. Contrairement aux médicaments allopathiques, l’apithérapeute a à la portée de main, non seulement les substances qui sont d’agents accrédités avec le potentiel d’intervention, mais aussi les substances qui peuvent  soutenir ou controller leur actions, les modérant, les limitant, ou, si nécessaire, elles peuvent même éviter les conséquences indésirables. Parmi ceux-ci, une place de choix l’occupe surtout l’énorme capital des biomolécules, biocompatibles jusqu’à l'identité avec les humaines. Cependant, celles-ci, avec une grande valeur médicale, ne peuvent certainement pas être reproduites dans des laboratoires, ne peuvent donc pas être à la portée du traitement allopathique. Par exemple, les hormones de synthése farmacochimique, sur lequels on a disposé qu’ils sont identiques à ceux des humains, mais qui n’agissent pas toutefois d’un façon identique. Mais, étant donné l'intérêt qu’il presentent, nous allons revenir sur ces idées.

Grâce au nombre très grand de substances qui les apithérapiques lui rendent à la portée, l’apithérapeute doit forcément avoir très solide connaissances de medicine générale, mais aussi dans les domaines de l'endocrinologie, l’enzimologie, la biochimie, la biologie moléculaire et cellulaire, l’immunologie, etc

Et parce que l'apithérapie est une science médicale avec claires valences cliniques, l‘apithérapeut débutant devrait passer, avant de traiter lui-même, par une période de probation auprès d’un apithérapeute d’une experience clinique reconnue. La complexité structurelle des apithérapiques l’exige.

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